XIIème congrès international Psy Cause à Lomé
XIIème congrès international Psy Cause à Lomé, 4 au 6 décembre 2018 : « La Francophonie face à la mondialisation : famille et psychopathologies dans l’espace francophone »
C’est à la suite de la réalisation par Psy Cause Togo de son premier colloque national le 11 août 2015, que Psy Cause International fit la proposition de tenir un congrès international de notre revue/association dans la ville de Lomé. Lors du second colloque Psy Cause Togo des 15 et 16 septembre 2016, une séance de travail entre le comité d’organisation, Psy Cause Togo, et la représentante de Psy Cause International (Docteur Catherine Lesourd) a eu lieu au bureau du Professeur Kolou Simliwa Dassa à la Clinique de Psychiatrie et de Psychologie médicale du CHU-Campus à Lomé. Les discussions, comme convenu avec les responsables togolais, ont repris lors du second congrès de la Société Africaine de Santé Mentale (SASM) à Abidjan qui se déroule du 6 au 9 mars 2017. En soirée du 7 mars 2017 à Abidjan, lors de l’Assemblée Générale de la SASM, le Pr Dassa a informé du projet de congrès international Psy Cause. La SASM apporte alors son soutien et intègre la manifestation scientifique dans le calendrier des colloques et congrès africains de manière à éviter un chevauchement et ainsi à favoriser une mobilisation la plus large possible.
Un titre consensuel approuvé par tous est adopté le 21 mars 2017 : « La Francophonie face à la mondialisation : famille et psychopathologies dans l’espace francophone ». Nous adoptons également, en tant qu’illustration du thème du congrès, le château Tata Somba situé chez les Tamerna au nord du Togo. Ce type d’architecture nous est apparu à même de symboliser les enjeux de la Francophonie face à la mondialisation dans nos disciplines.
Avec le congrès de Lomé, nous ouvrirons un nouveau chapitre de Psy Cause. Ce sera notre premier congrès international organisé par une section nationale francophone dont le siège n’est pas en France : Psy Cause Togo. Il prendra appui sur une association partenaire internationale africaine (la SASM). Il mobilisera notre réseau international dont les sept sections nationales constituées à ce jour sur trois continents.
L’architecture du congrès de Lomé prendra en compte la diversité géographique des publics concernés. Elle prévoira des droits d’inscription modulés en fonction des pays d’origine pour répartir dans un esprit de justice la contribution demandée à chacun. Plusieurs catégories d’hôtels seront proposées. L’achat des billets d’avion sera laissé à l’initiative de chaque congressiste. Une extension sous la forme d’un circuit touristique au départ de Lomé sera proposée. L’objectif logistique sera d’être en capacité de faire de notre XIIème congrès international un forum des acteurs de santé mentale de l’ensemble de l’espace francophone.
Argument
La francophonie ou monde francophone désigne l’ensemble des personnes et des institutions qui utilisent le français comme langue de première socialisation , langue d’usage, langue administrative, langue d’enseignement ou langue choisie. Elle renvoie aussi à des pays ou régions membres de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Aujourd’hui, il est plus qu’évident que la francophonie fait face à une mondialisation envahissante. La mondialisation désigne l’extension à l’échelle mondiale d’enjeux qui étaient auparavant limités à des régions ou des nations. C’est le processus de rapprochement des hommes à l’échelle planétaire à travers l’interpénétration des cultures, des technologies et des économies. Il s’agit de la vision d’un monde qui évolue peu à peu vers le village planétaire, un monde multilingue et sans frontières. Comme telle, la mondialisation suscite alors une réflexion sur la réorganisation de la vie internationale. Ainsi des réflexions s’imposent par rapports aux nouveaux enjeux de la francophonie. Des acteurs de la santé mentale se proposent d’y réfléchir en choisissant comme cadre la famille. C’est ce qui justifie ce 12ème congrès international de Psy Cause et 2ème congrès de la Société Togolaise de Santé Mentale autour du thème principal : LA FRANCOPHONIE FACE A LA MONDIALISATION : FAMILLE ET PSYCHOPATHOLOGIE
Les objectifs :
- Aborder les enjeux de la mondialisation et de la francophonie à travers la famille et la psychopathologie ;
- Permettre aux participants d’échanger sur l’impact des différentes cultures sur les problèmes de santé mentale dans l’espace francophone;
- Confronter les compétences et les expériences relatives aux thématiques inscrites au congrès.»
Les sous thèmes qui font appel à communication :
- Francophonie et mondialisation : les enjeux
- Famille, Système éducatif et psychopathologie
- Conflits, migration et psychopathologie
- Communication libre
Adresses électroniques pour le congrès : psycause.info@gmail.com ; psycausetogo@gmail.com
Droits d’inscription :
Avant le 3 septembre 2018 Après le 3 septembre 2018
Congressistes africains (paiement en francs CFA) :
– Etudiants : 10 000 F 15 000 F
– Médecins généralistes,
Master de santé mentale,
Paramédicaux : 15 000 F 20 000 F
– Médecins spécialistes : 30 000 F 35 000 F
Congressistes non résidents en Afrique (tarifs en Euros) :
– Abonnés à la revue
Psy Cause : 250 € 270€
– Non abonnés : 300 € 320 €
Modalités de règlement :
Pour les résidents en Afrique : écrire à psycausetogo@gmail.com
Pour les non résidents en Afrique :
– Ecrire à psycause.info@gmail.com
– Envoyer un chèque à la trésorière à l’ordre de Psy Cause à l’adresse : Chantal Roose, trésorière, 12 rue du Sancy, 30133 Les Angles, France. Joindre vos adresses postale et courriel, ainsi que votre profession.
Nous sommes à moins d’un mois de l’événement. La recension des communications aujourd’hui enregistrées par Lomé (80) nous donne une photographie de la dimension scientifique de notre congrès, tout en ayant présent à l’esprit qu’une ou deux communications supplémentaires de dernière minute seront probablement acceptées :
Conférence introductive (1) :
– Eden Kodjo, ancien secrétaire général de l’OUA, ancien premier ministre du Togo, écrivain.
Communications togolaises (27) :
– E Lakassa : Approche de la médecine traditionnelle dans le traitement de la maladie mentale.
– ZS Degboé et col : Le langage des usagers de substances psycho actives à Lomé Togo : analogies et mots d’emprunt.
– ZS Degboé et col : Analyse factuelle auprès d’un auteur d’abus sexuel ? Une étude qualitative prospective d’un cas reçu au CHU-Kara.
– AM Tchassama : Perception des manuels de français et pratiques pédagogiques des enseignants du cours primaire. Cas des enseignants de la Commune d’Atakpamé.
– BI Sogoyou et col : Type de handicap mental, traumatisme parental, crise de la parentalité chez les parents d’enfants en situation de handicap mental.
– K Kalina et col : Facteurs de risque familiaux et troubles psychopathologiques en milieu carcéral.
– D Lene et col : Etude exploratoire sur les facteurs de protection familiaux contre la récidive chez les adolescents auteurs d’agression sexuelle à Lomé.
– E Midohuin : Envoyés à l’internat pour un bon encadrement, ils sont sortis avec l’addiction aux substances psycho actives.
– EA Ahado et col : Groupes de parole des mères des usagers de substances psycho actives, une expérience menée à Lomé (Togo).
– DP Nador et col : L’usage du narguilé, une pratique à risques qui attire les jeunes à Lomé (Togo).
– B Ayelou et col : Traumatisme psychique sexuel au sein de la famille et ESPT chez un jeune adulte. Une étude qualitative prospective d’un cas reçu au CHU-Kara (Togo).
– A Agbobli et col : Familles dysfonctionnelles et troubles de conversion chez les adolescentes suivies au CHU Campus de Lomé (Togo).
– KM Gbétobé et col : Le conte : apport en médiation thérapeutique groupale chez l’enfant.
– MV Lene : Famille, lieu de psychotraumatisme : expérience du Centre de santé mentale Paul Louis Renée.
– K Adansikou et col : Perception de la charge et cohésion familiale chez les parents d’enfants malformés : cas d’enfants porteurs d’une hydrocéphalie et de fente labiale et/ou palatine.
– Saliou Salifou, Président de Psy Cause Togo, et col : Les agressions à Lomé : résultats de 14 ans de collecte de données au Centre de Prise en Charge Psycho-Socio-Judiciaire du Centre Hospitalier Universitaire Sylvanus Olympio.
– Saliou Salifou, Président de Psy Cause Togo, et col : Expérience de la cellule d’urgence medico-psychologique des Forces Armées Togolaises.
– Saliou Salifou, Président de Psy Cause Togo, et col : Etat de stress posttraumatique à travers trois vignettes cliniques : polymorphisme du syndrome de répétition.
– M Bomboma et col : Etat de stress post-traumatique : Approche descriptive à propos d’un cas au CHR Dapaong.
– BL Kpassagou : Que deviennent les enfants victimes de viol et leurs familles au Togo et quelle prise en charge psychologique peut-on leur proposer ?
–K Yenkey : Thérapie individuelle pour adolescents et jeunes adultes addicts au cannabis : Essai clinque basé sur le modèle du Traitement habituel explicité (TAUe) ou le traitement habituel explicité.
–K Yenkey : Rechute chez les patients addicts aux substances psychoactives présentant un trouble concomitant admis au Centre Hospitalier National Spécialisé (CHNS) de Zébé-Aného au Togo.
–D Wenkourama et col : Traitement de la catatonie par Lorazépam en Afrique noire subsaharienne à partir d’un cas clinique.
– PK Balassa et col : Alexithymie et qualité de vie chez les personnes âgées.
– A Simliwa Pilata : Stress vécu en milieu du travail et épuisement éprouvé, cas des étudiants de l’Université de Lomé-Togo.
– F Dogbéazé et col : Prévalence du VIH chez les malades mentaux de l’Hôpital Psychiatrique de Zébé-Aného (Togo).
– F Yentaguime et col :Bilan de la première année de consultation psychologique dans le district sanitaire de l’Oti (Mango).
Communication américaine (USA) (1) :
– K Anahlui et col : Cultural representation of DNR from African immigrant caregiver in United States of America: Case study of patient in Neuropsychiatry Hospital in Mishawaka Indiana USA.
Communications béninoises (19) :
– P Poromna et col : Echec de la résilience chez les enfants et adolescents (es) à la suite du divorce des parents.
– P Poromna et col : Mastectomie et dysfonctionnement conjugal : étude d’un cas clinique de couple.
– AR Adéogoun et col : Culture et violences conjugales en milieu nago au Bénin : Essai de théorisation.
– PA Sileméhou et col :Culture et résilience face au traumatisme psychique : cas des victimes d’accident de la circulation au Sud-Bénin.
– PA Honnou et col : Nouvelles manifestations psychiatriques dans une Afrique en fort reflet occidental.
– DM Awohouédji et col : Famille et trouble psychosomatique : à propos d’un cas reçu au CMP de Mont Saint Martin.
– AL Abadagan et col : Dermatillomanie et maltraitance : à propos d’une vignette clinique.
– S Kanekatoua et col : Impact des pathologies mentales des parents sur la psychopathologie de l’adolescent.
– BCT Boko et col : Familles Mahis et représentations socioculturelles de la maladie mentale : impacts, itinéraires thérapeutiques.
– Gégoire Magloire Gansou, Professeur de psychiatrie et directeur du CNHUP de Cotonou, et col : Réactions émotives et comportementales des familles de patients souffrant de schizophrénie au CNHUP de Cotonou.
– E Hountondji et col : Famille dysfonctionnelle et toxicomanie : réalité au CNHUPC.
– SA Kpakatia et col : Fonctionnent familial et psychosocial des mineurs sous ordonnance judiciaire dans les prisons civiles du Bénin en 2015.
– A Amouzou et col : Apport du travailleur social dans la réinsertion familiale des toxicomanes du CNHUP de Cotonou.
– TEE Klikpo et col : Les déterminants psychosociaux de l’abandon des malades mentaux par leurs familles au Centre National Hospitalier Universitaire de Psychiatrie de Cotonou (CNHUP-C).
– Y Amonles et col : Schizophrénie et polyaddiction aux substances : parcours d’un migrant clandestin.
– MN Njanjo Yimgoua et col : Migration : perte de repères socioculturels.
– Francis Tognon Tchénonsi, Professeur de psychiatrie à l’université de Parakou, et col : Morbidité oculaire chez les patients hallucinés visuels au Centre Hospitalier Universitaire Départemental du Borgou/Alibori et au Centre Psychiatrique Saint Camille de Djougou au Nord du Bénin en 2016.
– YTN Nononhou et col :Psychotraumatisme chez les usagers de l’unité des grands brulés du CNHU-HKM.
–Y Bonou et col : Troubles somatiques chez les patients hospitalisés au Centre National Hospitalier Universitaire Psychiatrique de Cotonou.
Communications burkinabés (4) :
– DS Domboué et col : Intervention précoce dans l’attaque terroriste du café-restaurant Cappuccino et de l’hôtel Splendid (Ouagadougou).
– D Naména et col :Aspects épidémiologiques et cliniques des patients suivis dans le service de psychiatrie du Centre Hospitalier Universitaire Régional de Ouahigouya, Burkina Faso.
– D Naména et col :Aspects épidémiologiques et cliniques de la dépression au Service de Médecine Générale du Centre Hospitalier Universitaire Régional de Ouahigouya.
– D Naména et col :Troubles somatiques chez les patients suivis au service de Psychiatrie du Centre Hospitalier Universitaire Régional de Ouahigouya.
Communications canadiennes (4) :
– François Borgeat, Professeur à l’université de Montréal, et col : Est-ce qu’un programme de psychothérapie accessible par internet peut être pertinent au Togo ?
– Carmen Lallier : L’approche narrative pour renforcer le pouvoir d’agir des personnes et des collectivités.
– Pierre Lalonde, Professeur à l’université de Montréal : Saillance et dopamine.
– Pierre Lalonde, Professeur à l’université de Montréal : La théorie de l’esprit.
Communications centrafricaines (3) :
– André Tabo, Maître de conférences agrégé de psychiatrie, et col : Les soins aux schizophrènes à Bangui : co-thérapie avec la famille.
– André Tabo, Maître de conférences agrégé de psychiatrie, et col :Troubles psychiatriques et migration forcée : cas des Centrafricains à Cotonou.
– André Tabo, Maître de conférences agrégé de psychiatrie, et col :Le trouble stress post traumatique chez les migrants Centrafricains à Cotonou : prévalence et facteurs associés.
Communications congolaises (2) :
– Alain Mouanga et col : FSEP8 Silence ! : C’est la famille qui décide.
– Alain Mouanga et col : Interprétations culturelles des maladies mentales au Congo et affections mentales périodiques et familiales : entre fétiches, malédiction et hérédité ?
Communications françaises (6) :
– Philippe Nubukpo, Professeur d’addictologie à Limoge : Les enjeux de la coopération dans le développement de la santé mentale : place des diasporas.
– Thierry Lavergne : Le programme Quality rights de l’OMS.
– Thierry Lavergne : Art thérapie et fonctions parentales.
– Jean Paul Bossuat : La revue Psy Cause.
– Nathalie Méchin :Vingt ans et des cellules cancéreuses…ou comment se construire dans une famille toxique.
– Béatrice Ségalas : Clinique et éthique de la migration et de l’exil.
Communications gabonaises (2) :
– KR Dopé : Lieux de prière : lieux de soins.
– S Mbadinga et col : Pratiques thérapeutiques et réflexions psychopathologiques autour du cas clinique d’un enfant associant TDAH, troubles du langage et difficultés scolaires.
Communications ivoiriennes (6) :
– AC Bissouma et col : De vous a nous, entre savoir et langue, comment se construisent nos pratiques pour les enfants autistes de Côte d’Ivoire.
– AC Bissouma et col : Environnement familial et compétences maternelles chez les mères d’enfants autistes à Abidjan.
– APM Anoumatacky et col : Famille et école : quelles interactions ?
– APM Anoumatacky et col : Rester auprès d’un patient psychiatrique: quel vécu de l’hospitalisation ?
–Z Casimir et col : Phénomène des adolescents délinquants dits « microbes » en Côte d’ivoire : responsabilités de la famille.
– AC Assi-Sedji et col : Anne, Quand le handicap vole l’enfance.
Communications maliennes (5) :
– M Koné et col : Approche épidémiologique du risque psychopathologique selon le rang dans la fratrie.
– PP Mounkoro et col : Etude ethnobotanique des plantes utilisées par les tradipraticiens de santé pour le traitement des troubles mentaux au Plateau Dogon de Bandiagara, Mali.
– J Traoré et col : Structure familiale et morbidité psychiatrique au CHU du Point G à propos de 304 cas.
– K Traoré et col : Etude épidémioclinique des troubles psychiatriques chez les enfants : Cas du Centre d’Accueil et de Placement Familial CAPF « Pouponnière ».
– F Maïga et col : Etude du caractère familial et environnemental des troubles mentaux au CHU Point G.
Les inscriptions sont à régler, soit par chèque ou virement international à notre trésorière, Chantal Roose, soit directement sur place à Lomé. Dans ce dernier cas, prévoir le règlement en espèces (abonné à la revue Psy Cause 250€, non abonné 300€).
La matinée de plénière du congrès, le 4 décembre, se déroule en quatre parties :
– 8h00 à 9h00 : mots d’ouverture du Ministre de la Santé et de la Protection Sociale, du Ministre de l’Enseignement Supérieur, du Doyen de la Faculté des Sciences de la Santé, du Président de Psy Cause International, du Président de la SOTOSAM (Société Togolaise de Santé Mantale).
– 9h00 à 10h15 : trois communications, d’Eden Kodjo, de Philippe Nubukpo, et de François Borgeat et Carmen Lallier.
– 10h15 à 10h45 : une demi heure de pause café.
– 10h45 à 12h35 : quatre communications, de Pierre Lalonde, Béatrice Ségalas, Thierry Lavergne et Jean Paul Bossuat.
Ensuite, le congrès fonctionne sur deux salles en parallèle. Un temps d’échanges sur l’évolution de Psy Cause (fonctionnement et futur congrès international) sera prévu selon des modalités en cours d’élaboration. Le congrès, le 5 décembre, se clôturera par une soirée festive.
L’hôtel retenu pour le congrès, en concertation avec le Dr Saliou Salifou, est l’hôtel Excellence qui est un compromis permettant une rencontre entre les divers acteurs venus d’Afrique et d’autres continents.
Les trois journées des jeudi 6, vendredi 7 et samedi 8, pourront être consacrées à un voyage au nord Togo géré par l’agence FRAM d’Avignon. Le programme de ce circuit s’établit ainsi :
Jour 1 : Lomé-Atakpamé-Sokodé-Bandjéli-Kara
Départ matinal de Lomé après le petit déjeuner pour Atakpamé dans la Région des Plateaux du Togo. En route, visite des vestiges de la Première Guerre Mondiale. Arrivée à Atakpamé ; visite du quartier des forgerons et cap sur Sokodé, deuxième plus grande ville du Togo à travers scènes et paysages typiques. Déjeuner et continuation sur Bandjéli, village au cœur de la métallurgie ancestrale dans le Nord Togo. Visite des spécimens de hauts fourneaux ; de la maison du chef traditionnel et assister à la captivante danse du feu T’bol. Continuation sur Kara. Installation à l’Hôtel Kara. Nuit.
Jour 2 : Kara-Koutammakou-Kara-Sarakawa-Kara
Départ de Kara après le petit déjeuner pour sur Koutammakou, le pays des Tamberma inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco. Arrivée à Koutammakou, rencontre avec les populations et visite de leur habitat typique, les « takienta », de véritables châteaux d’argile disséminés dans les plantations. Retour à Kara. Déjeuner. Dans l’après-midi, mini safari au parc animalier de Sarakawa. Nuit à l’Hôtel Kara.
Jour 3 : Kara-Bafilo-Atakpamé-Notsé-Bolou-Lomé
Départ matinal de Kara après le petit déjeuner pour Bafilo, célèbre par ses tisserands. Visite à une coopérative de tisserands et cap sur la faille d’Alédjo que nous traversons à pied. Déjeuner à Atakpamé et continuation sur Notsé, ville historique des Ewés. Visite des vestiges de la muraille Agbogbo. Retour à Lomé en fin d’après-midi.
Pas de souci de sécurité. Notre réceptif nous précise que le convoi « sera accompagné par un des meilleurs guides du pays », ajoutant que « le Togo reste l’un des pays des plus sûrs de la sous-région ouest-africaine » et qu‘au Togo, « il n’y a ni attentat, ni rapt, ni prise d’otages qui s’y déroule. »
Compter environ 400€ par personne. Ce prix peut varier en fonction du nombre de participants par véhicule. Contacter Régine Olivier de l’agence de voyage FRAM d’Avignon : appeler le 04 32 74 35 00 ou écrire à regine@s-enciel.com. Elle peut également se charger de l’hôtel, des billets d’avion, et d’autres demandes complémentaires. Elle est en lien avec le comité togolais d’organisation.
Visa : il concerne tous les visiteurs hors Afrique. Il est accessible à l’aéroport de Lomé pour un séjour de 7 jours maximum.
Jean Paul Bossuat