Info sur notre programme de numérisation des anciens numéros de Psy Cause

Notre politique de mise en ligne des numéros de Psy Cause, avec accès gratuit sur notre site, a établi un délai de carence d’une année. C’est à dire que le N°67 est le plus récent mis en ligne, les numéros quadrimestriels 68 à 70 référencés sur l’année 2015 n’étant accessibles qu’aux abonnés (version papier et version numérique). La mise en ligne du N°68 se fera lors de la sortie du N°71 (qui va suivre assez rapidement la sortie du N°70 afin de commencer à rattraper notre retard). Les abonnés, est il nécessaire de le rappeler, sont essentiels pour faire vivre la revue. Et l’actualité de nos publications leur appartient.
Le N°11/12 (premier semestre 1998) contenait déjà, dix années avant le congrès Psy Cause à Parakou en 2008, un article béninois (en pages 94 à 99) : « Environnements psycho-socio-culturels et manifestations psychiatriques liées à la grossesse » des psychiatres Josiane Ezin Houngbé, Prosper Gandaho, Thérèse Agossou et René Gualbert Ahyi. La revue Psy Cause, alors revue du Sud Est de la France centrée sur le Centre Hospitalier de Montfavet (Avignon), avait déjà une ouverture sur le monde, via des actions de coopération interhospitalière. La vocation africaine de notre publication internationale francophone vient donc de loin.
Le N°38 rend compte de notre premier colloque hors de France. Il s’agit du Colloque itinérant Franco-Egyptien « Le sommeil et le rêve » réalisé à l’automne 2003 et qui est notre première manifestation scientifique hors de France. L’un des temps forts de ce colloque fut de dépôt solennel de la collection complète de notre revue à la Grande Bibliothèque d’Alexandrie, le 25 octobre 2003. Depuis cette date, nous avons adressé dans cette prestigieuse institution toutes nos parutions. Ce colloque a initié quatre années de coopération continue avec des professionnels égyptiens, avec l’appui du Centre Hospitalier de Montfavet. Des échanges substantiels se sont mis en place jusqu’en 2007 avec l’Hôpital Psychiatrique d’Assouan.
La numérisation des anciens numéros est une œuvre importante car elle met à la disposition des lecteurs de notre site une banque de données précieuse. Cet article est l’occasion d’un appel à bénévoles pour accélérer notre programme de numérisation.
Jean Paul Bossuat